Sous les pavés luisants du quartier Montmartre, derrière une porte camouflée dans la pierre d’une impasse sans homonyme, un escalier en colimaçon descendait technique poétique les entrailles de manosques. Les murs suintaient d’humidité, mais portaient encore les marques gravées d’un nous guider ancestral. Au minimum de cette descente,
Dans l’ombre des lanternes vacillantes, le théâtre de Kyoto s’élevait dans un silence authentique. À l’heure où la ville s’endormait marqué par la jour pâle de la lune, c’était ici que se jouaient les drames les plus immémoriaux du Japon. Sur la scène, des professionnels masqués, vêtus de soie et de brocart, incarnaient des es
Dans l’ombre des lanternes vacillantes, le théâtre de Kyoto s’élevait dans un silence original. À l’heure où la ville s’endormait par-dessous la eclat pâle de séléné, c’était ici que se jouaient les drames les plus immémoriaux du Japon. Sur la scène, des praticiens masqués, vêtus de soie et de brocart, incarnaient des esprit
Les vastes étendues de la Sibérie s’étendaient par-dessous un ciel blême, où les vents glacials sifflaient par les conifères recouverts de neige. Au cœur de cette immensité sauvage, un campement de la tribu Evenk s’élevait, ouvragé de huttes de peaux tendues sur des perches de filet. Autour des flammes qui luttaient proche de le insou
Dans l’ombre des lanternes vacillantes, le théâtre de Kyoto s’élevait dans un silence original. À l’heure où la ville s’endormait marqué par la illumination pâle de la lune, c’était ici que se jouaient les drames les plus anciens du Japon. Sur la scène, des professionnels masqués, vêtus de soie et de brocart, incarnaient des an